Tu es né un jour d'été, le 5 septembre, à 5heures du matin, tu es le benjamin de ta famille, tu as deux soeurs et un frère les oiseaux gazouillaient et le soleil éclaircissait la lande, elle était comparable à une cité d'or, du moins, c'est ce que disaient tes parents.
Lorsque tu es né, la première personne à t'avoir pris dans ses bras était ton père, il te ressemblait beaucoup, bien que les yeux marron, tu les tenais de ta mère.
Lorsque tu es né, la première personne à t'avoir pris dans ses bras était ton père, il te ressemblait beaucoup, bien que les yeux marron, tu les tenais de ta mère.
Pendant toute ton enfance m, ils essayaient de te faire des coups de crasse, le problème, c'est que tu n'étais pas bête et cela se retournait toujours contre eux, cela te faisait bien rire.
C'est à ce moment-là que la petite compassion que tu ressentais pour le monde disparu., de plus, tu n'aimais pas tes parents et tu ne savais pas pourquoi, mais tu sentais chez eux quelque chose d'anormale.
Depuis ce jour, tu ne t'étais plus fait punir, car l'hypocrisie faisait son effet et on pouvait dire que dans ce domaine-là, tu étais un professionnel, on te croyait angélique alors que tu ne l'étais pas.
Un soir, tes frères et tes sœurs te laissèrent une trace que tu n'oubliera sans doute jamais, ils t'attrapèrent à la sortie de l'école et te frappa jusqu'à ce que tu saignes, puis te laissèrent en plan, là où ils t'avaient frappé, voir ton sang te fis rire, mais pas le rire joyeux qu'ont habituellement les enfants, non, ton rire à toi était tout droit sorti de la colère, une pure colère noire qui ne demandait qu'à être soulagée, tu ne dormis pas chez toi ce soir là, tu n'étais pas allez dormir chez toi, personne ne sait où tu as dormi....
C'est à ce moment-là que la petite compassion que tu ressentais pour le monde disparu.
Tu avais décidé que tu les ferais souffrir, tes frères et tes sœurs.
Tes parents se rajoutèrent dans la liste lorsque que tu compris que tu compris que tes parents Comptaient te marier à une fille que tu n'aimais pas.
Tu décidas alors de marquer dans un bloc-notes, ceux qui recevrait un châtiment de ta part et de raturer leurs prénoms quand le châtiment sera fait.
Un soir, tes frères et tes sœurs te laissèrent une trace que n'oubliera sans doute jamais, ils t'attrapèrent à la sortie de l'école et te frappa jusqu'à ce que tu saignes, puis te laissèrent en plan, là où ils t'avaient frappé, voir ton sang te fis rire, mais pas le rire joyeux qu'ont habituellement les enfants, non, ton rire à toi était tout droit sorti de la colère, une pure colère noire qui ne demandait qu'à être soulagée.
Une semaine passait, et tout le monde étaient peinés pour toi, toi que tout le monde croyaient triste, alors que cela ne t'intéressait pas.
Tu fus emmené dans un orphelinat où tu Continuai à te faire passer pour un petit ange, et tout le monde le croyait.
Rare sont les fois où tu révélais ta vraie personnalité, et la seule personne qui la voyait était une fille nommée Kumiko, tu t'acharnais sur elle, car de temps en temps, elle gagnait, et cela te mettait en rogne quand tu te faisais prendre à sa place, tu la détestais, vous étiez comme chien et Chat, mais tu ne ressentais aucune envie de meurtre envers elle.
C'est là-bas que tu découvris ton don pour les arts martiaux, et que tu aimais voyager.
Un jour on t'appela, et l'on t'apprit que tu avais été adopté par deux époux nommés Hatori, tu fus dégoûté, mais ne laissa rien paraître.
Tu le fus encore plus lorsque tu sus que Kumiko serait avec toi, cette saleté serait avec toi tous les jours, c'est ce que tu pensais, mais aussi au fait qu'elle savait que tu jouais un double jeu, tu te disais qu'il fallait l'éliminer.
Finalement, tu fus adopté avec cette kumiko, elle semblait t'aimer, mais toi, tu, j'éprouvai rien pour elle.
Un jour, à vos 16 ans, tu partis avec elle à la prestigieuse école Yuukou académy, tu t'en foutait bien même si tes parents étaient content, enfin...Tes parents...Tes parents... comme tes défunts parents biologiques: tu les appelaient par leurs prénoms, papa et maman n'existaient pas dans ton vocabulaire, vu que tu n'éprouvais aucun amour pour eux, et pour toi ces petits noms, s'étaient quand on aimait ses parents.
Ce qui t'occupait l'esprit était le prénom sur ton bloc-note par encore raturé: Kumiko Hatori

Taquin: Tu adores embêter les autres jusqu'au point de les mettre en colère, tu ne connais pas vraiment tes limites et tu peux dépasser les bornes, au plus grands malheur des autres, et cela s'empire quand tu es en colère.
Lunatique: Tu peux être tout à fait joyeux et peux perdre ta joie brusquement sans raison, ce qui peut te rendre lourd aux yeux des autres, même si tu t'en contre-fiche
Moqueur: Alors c'est l'un de tes plus grands défaut, tu ne eux t'empêcher de rire lorsque quelqu'un fait quelque chose de déplacer ou se ridiculise, pour toi, tu ne peux pas rater une gaffe, tu dois toujours te trouver à l'endroit précis pour pouvoir te foutre de la face de cette personnes tête-en-l'air.
Aventurier: tu aimes voyager, t'aventurer dans des endroit inconnues et mystérieux, et tu aimes découvrir de nouvelles choses au péril de ta vie, ce qui peut être aussi l'un de tes défaut, car tu ne voit pas vraiment le danger.
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Cultivé: tu  as appris beaucoup de choses pendant ton enfance et tu ne cesse de vouloir en connaître d'avantages.
Sanguinaire: tu aimes te battre et ne peux t'empêcher de provoquer les autres pour que cela tourne en bagarre, même si on te répète depuis ton enfance que ça, c'est mal !
Rebelle: Il est hors de question que l'on t'impose des règles ou tu risque fortement de péter un câble, le petit homme parfait ce n'est pas pour toi malheureusement, de toute manière, tu ne respecte jamais les règles malgré les multiples punition que tu t'ai prise à cause de ça.
Hypocrite: Pour attirer tes victimes, tu te crée une personnalité toute mignonne et naïve alors qu'en réalité, tu n'es qu'un sale gosse rusé.