Je venais de me lever. Qu’elle heure était-il ? Qu’elle jour on était ? Encore ce rêve, comme chaque nuit. Je portais une main devant mes yeux pour les cacher de la lumière qui m’éblouissait. Je me trouvais dans ma chambre, la nuit avait été courte pour moi, une bouteille de whisky ce trouvais sur ma table de nuit. Avais-je bue ? Cela ne me ressemblait pas… Regardant autour de moi, je ne vue personne, encore heureux. Rassemblant le peu de force que j’avais le matin, je sortie de mon lit pour prendre la direction de ma douche. Allumant l’eau, je sentais le liquide couler sur ma peau, c’était si bon, j’en frissonnais. Mes cicatrices me faisait toujours un peu mal quand elles étaient exposer à de l’eau chaude, certaine plus récente que d’autres, les traces d’un passer remplie de sang et de carnage…

Une fois sécher et habillé, j’attrapais une pomme et sortie de mon petit appartement. Ce n’était pas grand-chose, mais c’était chez moi. Arrivant dehors, le soleil venait à peine de se lever, qu’elle heure était-il ? Regardant ma montre, je m’aperçue qu’il n’était que sept heure du matin. Je compris alors pourquoi je ne voyais personne dans les couloirs de l’académie. Le calme et le silence était maître des lieux. C’était agréable, car la journée, bon nombre de personne traversais ses couloirs et donc faisait beaucoup de bruit. Je ne m’étais pas encore habituer à voir tant de monde pendant la journée, moi qui avais pris l’habitude de rester dans mon coin, solitaire à dessiner ou bien m’entraîner. Arriver devant une grande porte en bois massif de couleur foncer, je sortie une clef de ma poche pour l’insérer dans la serrure. Tournant cette dernière, j’entendis un bruit sourd venant de la serrure indiquant que celle-ci était ouverte. Ouvrant la grande porte, j’entrais dans ce qui serait mon nouveau chez moi pendant la durée de cette mission, la bibliothèque…

C’était la première fois que je venais ici depuis mon arrivé, pourtant c’était mon lieux de travail maintenant, mais le directeur avait exigé que je prenne une petite semaine de congé avant de commencer à travailler activement. Je ne savais pas s’il était au courant de ma réel identité, mais cela m’importait peu, pour le moment il fallait que je me fonde dans le décor et face semblant de mener une vie de bibliothécaire. Une odeur de cuir régnait dans cette immense pièce. C’était à la fois agréable et nouveau pour moi. Marchant dans ce qui semblait être l’allée principal, j’examinais sous toute les coutures chaque recoins de la pièce dans la qu’elle je me trouvais. Je devais apprendre les plans de cet endroit le plus rapidement possible pour être le plus utile possible au futur personne qui passerais l’immense porte en bois en quêtes de connaissance. Moi qui aimait lire, j’allais être servit…

La première chose que je devais faire, c’était aller à l’endroit où ce trouvais mon futur bureau. Au premier coup d’œil on ne s’imaginerait pas que cette endroit est grand, mais plus on s’avance dans la pièce et plus celle-ci s’agrandissait. Je découvris plusieurs étages qui contenait eux aussi des ranger et des ranger de livres. Cette école était réputer pour de nombreuse chose, mais on avait omit le fait qu’elle possédait des milliers… Que dis-je, des millions de livres… Arriver à un endroit qui semblait être le point central de la pièce. Une sorte de petit comptoir était installer ici et il semblait être le lieu de travail d’une certaine personne. Peut-être la rencontrerais-je plus tard. Contournant ce comptoir, je vu un peu plus loin une porte avec écrit sur la vitre de cette dernière « Gérant ». J’avais enfin trouvé !

Me dirigeant vers l’endroit en question, j’allais pour ouvrir la porte quand je remarquai que cette dernière était fermée, super. Regardant le trousseau de clef que le directeur m’avait fourni, je ne tardai pas à trouver la clef avec écrit le mot « Gérant »sur une petite étiquette, il avait vraiment pensée à tout.  Introduisant la clef dans la porte, j’ouvris cette dernière et pénétra dans ce qui serais ma deuxième maison, d’après les dire du directeur. Je compris rapidement de quoi il voulait parler quand je vu sur le bureau quatre immenses piles de papier, dossier et autre feuilles qui semblait m’attendre. Depuis combien de temps personne ne c’était occupé de cette endroit… M’approchant du bureau en question, j’examinais la pièce plus en détail. Assez grande, elle était très bien décorer, un style un peu 18éme siècle dans un vieux Londres. Comme par hasard je venais de là.

M’installant dans le fauteuil en cuir derrière le bureau, je regardais les papiers qui se dressaient devant moi telle une muraille. Debout je les dépassais facilement, mais assit, je ne voyais même plus la porte qui se trouvait normalement en face de moi. Aller il fallait que je commence, sinon je ne m’en sortirais pas. Chaque papier recensait quelques choses de différents, de l’approvisionnement en livre en passant par les nouveaux inscrits au club de littérature et je ne parle même pas des factures pour les diverses réparations du toit de la bibliothèque ou de l’isolation des fenêtres pour combattre l’humidité… Mais qu’est-ce que je faisais la sérieusement…

« Bordel de merde... J’en ai pour une éternité… »