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Sam 21 Mar - 0:33

Mes débuts dans cette académie étaient des plus normaux, mais je m'y plaisais tout de même, avec le calme qu'il y régnait et ces élèves tout aussi respectueux l'un comme l'autre.

Aujourd'hui, j'étais en permanence, car j'avais une heure de libre entre deux heures et je m'étais décidé à réviser quelques leçons durant ce temps libres, dans lequel je ne pouvais pas assouvir ma soif de pédaler sur mon vélo de course. Après une dizaine de minutes de révision, une envie de partir en direction de la bibliothèque s’était fait ressentir. Pourquoi ? Car ma curiosité me faisait dire que je pourrais y trouver des livres intéressants sur le sport et plus particulièrement sur le cyclisme.

Tout en étant le plus calme possible, j'avais commencé à ranger mes livres dans mon sac de cours et je m'étais levé du bureau, pour partir en direction de cette bibliothèque. J'avais emboité le pas dans cette salle de permanence pour en sortir avec beaucoup de pensées qui se bousculais dans ma bête, tout comme la découverte de livres très intéressants sur le cyclisme ou toute autre chose, me permettant d'amélioré ma connaissance dans ce domaine que j'aimais tant.

Cependant en franchissant l'encadrement de la porte, je sentis comme une secousse et une force qui s'était exercée sur mon corps. Tout en reprenant mes esprits en sortant de mon état d'euphorie en pensant au cyclisme, j'avais pu voir en face de moi une fille qui semblait être tombée et qui me regardait en ma direction. Je me suis mis à penser que cette situation était de ma faute et je me suis rattrapé suite à cet incident, en lui disant quelques mots accompagnés d'une main tendue vers elle.

« Excuse-moi de t'avoir fait tomber, j'avais la tête dans les nuages. »

Avec mon autre main, je me grattais le sommet de mon crâne pour montrer que je n'étais pas tout à fait à l'aise en ayant fait cela. Je la scrutais de bas en haut, pour l'observé sous toutes ses coutures et ainsi j'ai pu remarqué que cette fille, avais un look plutôt intriguant, mais qui semblais fort sympathique et plutôt jolie. Faire mal à autrui était une chose que je détestais par dessus faire, même quand ce n'était pas fait exprès.

Et qui plus est ma mère m'avait appris qu'il ne fallait jamais toucher à une fille, même avec une rose. C'est pour cela que je fus toujours très courtois et surtout galant avec la gent féminine, chose qu'on me soulignait souvent. Malgré cela, je suis quelqu'un de plutôt timide avec les filles, ayant un peu du mal à les comprendre et vu que j'ai toujours peur paraitre trop ridicule face à elles.

J'espère que cette fille aux cheveux bicolores et aux yeux étranges n'allait pas m'en vouloir pour cette chute, qu'elle avait faite à cause de moi. Quelle tête en l'air, je fais, déjà que je ne connais pas grand monde dans cette école, si je commence à me faire mal voir, ça ne va pas être de tout repos !

[HRP : Désolé pour cette piètre qualité, mais en ce moment mon niveau est au plus bas et j'ai du mal à commencé les rp ^^'. J'espère que tu m'en voudra pas de ce côté aussi, hihi :P]

Sam 21 Mar - 9:41

∞ la tête dans les nuages !

John Jensen & Valentina Del Calabero

Dans le couloir de la permanence ou plutôt à la porte de la permanence, les heures sont trop longues et trop nombreuses quand on est en cours pour les compter vous avez juste l'impression que ça n'en fini jamais. C'est plutôt bruyant par ici enfin les décibels ne sont pas très élevés, mais il règne en permanence un bruit de fond dû au chuchotement des élèves qui patiente et révise.

Voilà bien trois ou plutôt quatre ans que tu es dans l'académie, tu y as tes amis et tes habitudes un peu comme tout un chacun ici. Tu n'avais pas cours à cette heure alors tu avais décidé de rejoindre la permanence afin de lire tranquillement assise à une table sans embêter personne le dernier magazine équin que ton père t'avait envoyé d'Italie. Un petit bout de passion en papier glacé et un aussi un morceau de ton pays, car bien entendu, il était écrit en italien. Mais trop impatiente pour attendre plus longtemps d'arriver dans la salle, tu avais commencé à le lire en marchant.

S'est le nez fourré dans les pages couvertes de conseil et de chevaux totalement absorbé que tu heurtas, non sans violence, un mur... Tu te retrouvas par terre un peu perturbé, ça fait trois ans que tu parcours ces couloirs y a jamais eu de mur là. Tu secouais la tête faisant danser ta tignasse bicolore. Tu levais doucement les yeux vers ce qui tu avais heurté et tu t'attendais pas à ce que se soit vivant...

❝ Excuse-moi de t'avoir fait tomber, j'avais la tête dans les nuages.

Tu dois l'avouer tu t'attendais à tout sauf à ça. Il te tendait la main pour t'aider à te relever, mais tu eu un gros blanc en le fixant. Rien que sa main faisait deux fois la tienne. Tu te sentais un peu vulnérable, tu secoues encore la tête, allons Valentina ! Tu as dompté des animaux bien plus gros que lui, il était peut être grand mais il est loin de peser cinq cent kilos ! Tu affiches à tour un sourire gêné et pose ta main dans la sienne afin qu'il t'aide à te relever.

❝ Scusate... oh Pardon. Je m'excuse, je ne regardais pas vraiment où j'allais non plus. C'est pas de votre faute. Grazie, pour m'avoir aidé à me relever. Je lisais mon magazine...

Tu ne l'avais plus en main, tu te déconfis presque totalement tes chatoyantes couleurs semblèrent couler jusqu'au sol te rendant aussi pâle que ta chemise. Et deux secondes plus tard tu cédais à la panique.

❝ DIOS MIO ! Où est-il ?

Tu te retournas d'un bond recherchant la revue des yeux sur le sol.

(Hrp : Il me va très bien ton rp !)

made by great thief.

Dim 22 Mar - 22:50

La jeune fille au look étonnant, avait accepté ma main tendue pour l'aider à se relever. Sa main était d'une douceur suprême proche de la soie et cette élève aux cheveux bicolores m'avais dit quelques paroles, qui disposait de quelques mots étranges qui ressemblais à de l'étranger, de l'italien peut-être ?

La raison de notre collision n'était pas pareille, l'un comme l'autre. Elle m'avais avoué être en train de lire un magasin tout en marchant, mais passons disons qu'on était tous les deux fautif dans cet incident des plus simplets. Tout d'un coup la fille semblait être agités, comme ayant perdu un objet qui lui était précieux.

Après quelques coups d’oeil autour de moi, je pouvais voir un livre qui se situait tout juste derrière moi. Pour évité tout incident des plus débiles, je me suis retourné et je me suis accroupi pour ne pas m'abimer le dos pour rien, pour ainsi attraper d'une main franche le livre. Étant quelqu'un d'assez curieux, j'avais lancé un petit regard en direction de la couverture du livre et il semblerait qu'il parle de l'univers de l'équitation, donc des chevaux.

J'avais toujours un immense respect pour les autres sports. Ce sport-là, je ne le trouvais pas évident vu qu'il fallait fait qu'un avec le cheval, un peu comme dans le cyclisme où on ne fait qu'un avec le vélo. Alors que je me suis retourné vers l’intrigante fille qui me faisait face toujours un peu affolé et je lui aie tendu son livre pour le lui rendre, tout en étant accompagné par de paroles.

« Tien ton livre, j'espère que je ne te l'ai pas abimé »

Tout en me grattant encore une fois le sommet de mon crâne, après ces dires que je disais souvent, ne sentant pas toujours ma force et il m'arrivait parfois d'abimé certains biens des autres, sans le faire exprès. En y repensant, je n'avais pas fait la chose que je faisais sans cesse, lorsque je rencontrais quelqu'un. C'est surtout une marque de respect pour moi, c'est de me présenter à la personne avec qui j'ai une interaction.

« Oh je ne me suis pas présenté mille excuses. Je suis John Jensen ! »

Je lui aie adressait un sourire pour la mettre à l'aise, puisque je trouvais qu'elle semblait être intimidé par mon physique et ainsi engagé une discussion des plus agréable, pour faire passé le temps. Et pourquoi ne pas faire plus ample connaissance, avec cette fille qui semblait être une personne plutôt intéressante, avec sa tenue vestimentaire des plus inhabituels.

Dernière édition par John Jensen le Mer 25 Mar - 22:46, édité 1 fois

Lun 23 Mar - 8:43

∞ la tête dans les nuages !

John Jensen & Valentina Del Calabero

Vous vous confondiez l'un l'autre en excuse, vous étiez, tous les deux, plus ou moins fautif de la collision alors quoi de plus normal que vous vous excusiez autant lui que toi ! Pendant ce temps, vous bloquiez la porte de la salle de permanence. Enfin toi, tu étais dans le couloir et lui devant la porte, si on échangeait vos places, tu ne bloquerais sans doute pas le passage en fait, tu es bien trop fine pour ça ! Lui par contre avait le profil d'une armoire à glace ! Voire d'une armoire tout court qui aurait décidé d'avoir deux jambes. C'était assez surprenant bien que tu es l'habitude de voir des montagnes de muscles, enfin des montagnes de muscles à quatre pattes qui hennissent ! Tu avais été surprise, mais au final, cela n'était que passager.

Après il faut reconnaître que tu ne passais pas non plus inaperçue avec ta crinière bicolore. Tu avais l'air assez excentrique même vu de loin. En parlant d'excentricité ! Tu portais aujourd'hui un pantalon style culotte d'équitation moulant marron, une paire de bottines blanche et une veste blanc et rose. C'était plutôt bien assorti. Mais il faut reconnaître que ce n'est pas très à la mode, ni très scolaire, en fait, on croirait que tu es venue dans ta tenue d'équitation en cours... Après, c'est dans ce type de tenue que tu te sens le plus à l'aise et ça, tu ne pouvais pas vraiment le changer, ou plutôt tu n'en avais pas l'envie et en voyais encore moins l'utilité ! Puis l'habit ne fait pas le moine.

Après avoir légèrement perdu ta contenance face au jeune homme, voilà que tu cèdes à la panique. En effet, tu avais lâché ton précieux magasine et tu n'en aurais sans doute pas de nouveau avant deux mois... Il fallait le retrouver à tout prix ! Tu regardais autour de toi où il avait bien pu tomber, ton précieux magasine. Ta tête faisait : gauche, droite, gauche, droite un peu à la façon d'un métronome réglé à la vitesse max, quand la voix du garçon t'interpela.

❝ Tien ton livre, j'espère que je ne te l'ai pas abimé.

Il te tendait la revue, tenant entre ses doigts énormes cette dernière, on aurait dit une pauvre et unique feuille posée dans sa main. Mais aucun importance qu'elle soit un peu froissée tant qu'elle n'est définitivement perdue ça te va !!!! Ton sourire s'élargit ton visage, tes yeux brillants de joie, on aurait une gamine qui venait de recevoir sa nouvelle Barbie pour son anniversaire. En parlant de Barbie, tu jouais toujours plus avec le cheval qui l'accompagnait qu'avec la poupée elle-même. Le bonheur semblait déborder de toi, tu saisissais la revue et le serrer légèrement contre toi soulagé.

❝ Oh je ne me suis pas présenté mille excuses. Je suis John Jensen !

Ton sourire toujours accroché à tes lèvres, tu te redressa légèrement bien que ça ne te ferait pas plus grande face à lui...

❝ Valentina Del Calabero, enchanté John ! Merci pour ton aide c'est gentil de ta part... Et je peux te demander un petit service ?

Les italiens sont des gens très tactile, même bien plus tactile que les américains ou les français. Tu avais instinctivement posé ta main sur son avant-bras, ce n'était en rien de la drague ou encore une forme de harcèlement. Juste un geste plutôt amical.

made by great thief.

Mer 25 Mar - 23:11

La voix qu'avait cette fille était très agréable, aussi douce que ses mains que j'avais pu touché auparavant. Elle s'était présentée à moi sous le nom typiquement italien, Valentina. Ses simples remerciements m'avaient énormément touché, vu qu'en général les gens étaient terrorisés par mon immense carrure. Qui plus est, elle arborait un sourire des plus agréable et qui pouvait me permettre de lui offrir toute ma confiance.

Une question était sortie de sa bouche, dans laquelle elle me demandait si je pouvais lui rendre un service. Après cette question, elle m'avait posé l'une de ses douces mains sur l'un de mes avant-bras. Je n'ai pas pu m'empêcher de rougir légèrement, n'étant pas à l'aise avec la gent féminine. Je pouvais sentir que ce geste n'était que purement amical, c'est un peu comme une coutume par chez eux, d'être aussi tactile à ce que j'ai pu entendre quelque part.

Pour ne pas rougir encore plus, j'ai décidé de répondre à sa question, par une affirmation ainsi qu'une autre question à mon tour.

« Bi...bien sûr ! Quel genre de service, veux-tu ? »

Un grand sourire s’était affiché sur mon visage qui semblait tout le temps, assez sévère. J'étais heureux d'avoir enfin un contact avec l'un des élèves de cet établissement, où je ne connaissais pas grand monde. Et qui plus est, cette fille était assez mignonne en plus d'être très gentille avec l'ours que j'étais.

J'espère qu'elle n'allait pas se servir de moi, étant quelqu'un de trop gentil, malgré mon imposante carrure. Cependant, mon instinct d'animal me laisser supposé complètement le contraire. Peut-être qu'une future grande amitié va se former entre nous deux.

Par réflexe et aussi sureté, je regardais autour de moi, si je n'avais pas fait tomber un de mes livres de mon sac. Encore une fois mon instinct ne s'était pas du tout trompé, vu que j'avais fait tomber l'un de mes livres sur le cyclisme, par sympathie et surtout pour la faire rire, je lui ai dit une simple phrase assez spontanément.

« Oh je n'étais pas le seul à avoir perdu un livre précieux, ahaha !!! »

J'avais placé le livre face à moi, pour regardé si celui-ci n'était pas abimé par sa chute et heureusement pour moi, ce n'était pas le cas. Il était un précieux trésor sentimental, vu que c'était un cadeau que mon père m'avait fait avant de partir dans cette école. Il m'avait dit de bien le lire, pour en apprendre davantage sur le cyclisme et ainsi devenir aussi fort que lui.

Cependant, le savoir ne fait pas tout dans le sport, il y contribue juste !

[HRP : Excuse-moi pour le retard, mais j'étais assez fatigué ces derniers jours. J'espère que tu ne m'en veut pas, gros bisous à toi ! :)]

Sam 28 Mar - 20:16

∞ la tête dans les nuages !

John Jensen & Valentina Del Calabero

Tic, tac, toc, le temps passe, il court sur ses petites pattes, comme une petite souris trotteuse ou plutôt comme un lapin blanc qui porte une veste, une montre à la main persuadé d'être toujours en retard. Tic, tac, toc, le temps court passe sous votre nez sans que vous vous doutiez de rien. Vous êtes là dans le couloir discutant innocemment, on dirait presque que le monde autour de vous n'existe plus. D'ailleurs en parlant de monde y a pas vraiment un chat dans le couloir à cette heure à part vous pour le moment personne ne s'est montré. Le mur, le sol, le plafond, tout est blanc, mais vous êtes loin d'être sur la banquise. Vous êtes au milieu d'un désert blanc et aseptisé, c'est si propre que vous pourriez manger par terre sans souci. Le couloir de la permanence à des airs de couloir de la mort. N'est ce pas ici qu'on vient purger sa peine quand on a fait une bêtise en cours, après tout c'est peut être un peu le couloir des condamnés ? Des chuchotis s'élèvent pourtant de la salle de permanence sombre et remplissent le couloir d'un grésillement continue.

Tu avais toujours la main posé sur son avant-bras, ce qui était très commun chez toi. En fait, on pouvait même dire que c'était dans tes gênes ! Tu posais toujours tes paluches sur les gens, tout en restant correct bien entendu. Souvent tu caressais le ventre des gens, leur pincer les joues ou encore leur tapoter l'épaule, et tu n'y pouvais rien ! Quand on chasse le naturel il revient au galop alors quitte à galoper autant le faire bien et quand on en a envie.

Il accepta ta demande de service sans difficulté, bien entendu il demanda le type de service que tu attendais de lui. Quoi de plus normal, une inconnue te demande un service, tu lui demande de quoi il s'agit quand même avant de lui obéir bêtement.

❝ Bi...bien sûr ! Quel genre de service, veux-tu ?

Ton sourire s'élargit un peu plus et tes yeux vairons, bidouillé par une lentille de contact rose totalement non naturel, brillèrent un peu de malice. Mais avant que tu n'es pu lui faire ta demande il se tourna pour ramasser quelque chose. Il s'agissait d'une revue sur le cyclisme, vous étiez tous les deux des cavaliers, vos montures étaient juste très différente ! Mais tu dois avouer que tu n'aurais pas vu cette montagne sur un vélo mais plus dans une salle de musculation. Comment la selle faisait pour le supporter ? Rien que pour lui trouver un cheval adapté faudrait taper dans le genre rustique et puissant. Un cheval de trait lui conviendrait surement... mais un vélo... pauvre chose, heureusement que ce n'est pas vivant et que ça n'a pas conscience de la charge qu'il déplace.

❝ Oh je n'étais pas le seul à avoir perdu un livre précieux, ahaha !!!

Tu rias doucement avec le jeune homme alors qu'il finissais d'inspecter sa revue pour la ranger tu te décidas à lui demander le petit service.

❝ Pourrais-tu te pencher en avant !? Je ne te demanderais rien d'autre !

made by great thief.

Mer 1 Avr - 18:16

Je me demandais bien, ce que souhaite cette chère Valentina comme service. Peut-être quelque chose de facile voir quelque chose de difficile ? Peu importe, j'aime les difficultés et surtout ce que j'aime, c'est dès les surmontés avec brio tout comme mon père m'a appris !

Avec un grand sourire, la fille aux cheveux bicolores et aux yeux vairons non naturels, m'avait enfin fait savoir le service qu'elle souhaite que je fasse. Elle voulait simplement que je me penche vers l'avant, un peu comme si j'étais en position de sprint sur mon vélo, enfin c'était la seule comparaison qui me venait en tête, vu que je suis accro au cyclisme.

Suite à sa demande, je me suis bien entendu exécuté vu que ça semblait être son souhait. Et comme me disait ma mère, ne jamais décevoir une belle fille qui te plait et c'est pourquoi je me suis penché vers elle en avant. Un peu gêné par cette position, je lui ai posé la question suivante.

« Euh... Je fais quoi maintenant ? »

Certains cyclistes s’entrainaient en se mettant dans cette position, pour garder l'habitude d'être penché en avant lors des sprints et toute autre accélération en position danseuse. Je n'osais rien dire, mais rester comme ça m'embêtait un peu dans cette tenue un poil trop petite pour ma carrure d'ours. Pour ne pas lui montrer que j'étais trop gêné et que je commençais à perdre patience avec sa demande qui semblait être une farce, je lui ai dit ces quelques paroles.

« Heureusement que je suis habitué à être dans cette position, lorsque je sprint sur mon vélo ahahaha »

Suite à mes dires, je me suis mis à rire à gorge déployée et je voulais encore voir ce délicieux sourire, qui m'avait déjà offert Valentina, l'une de mes premières rencontres dans cette académie pas comme les autres...