| ✖ Date d'inscription : 02/05/2015 ✖ Messages : 21 ✖ Yuus : 1737 ✖ RPs aimés par les autres : : 3
✖ Age du perso : 18 ans ✖ Sexe du perso : Masculin ✖ Spécialisation(s) du perso : Médecine Légale / Balistique ✖ Club du perso : Jeux vidéos ✖ Travail du perso : Perceur |
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Élève de la filière scientifique |
| Ivanov Mikhaïl » Présentation générale Informations scolaires ➜ Date de naissance : 11 Mai 1996 ➜ Âge : 18 ans ➜ Sexe : Masculin ➜ Origine(s) : Russe et Américaine ➜ Nationalité : Russe ➜ Travail à mi-temps : Perceur ➜ Groupe Sanguin : O- Informations personnelles ➜ Régime : Interne ➜ Grade : Élève ➜ Groupe : Originaux ➜ Filière : Science ➜ Spécialisation(s) Médecine Légale et balistique ➜ Classe : Licence 1 ➜ Rang particulier ###
| Un peu plus le personnage ➜ Orientation sexuelle : Hétérosexuel
➜ Ses qualités : Joyeux / Optimiste / À l'écoute / Gentil / Très Tolérant ➜ Ses défauts Bizarre / souvent incompris / impatient comme pas deux
➜ Ses Hobbys Jouer aux jeux vidéos (de zombie surtout), suivre et essayer de résoudre des enquêtes policière ➜ Ses phobies : Son incapacité à gérer ses "mauvaises" émotions
➜ Particularité(s) : (Mental ou physique) ###
Mais encore ➜ Qui est sur ton avatar : Ookurikara ➜ As-tu lu le règlement : Oui ! ➜ Si oui, quel est le code : Les bonbons mangeurs de Yuukougiens. ➜ Accéder à la zone H/Y/Y/U : J'ai plus 16 ans depuis un moment ;_; ➜ Où as-tu trouver le forum : Grâce à un partenariat ( : ➜ Qu'est-ce qui t'a attiré dessus : Ce forum avait l'air vachement actif et ,comme je suis en manque de RP depuis longtemps, je me suis dit : et pourquoi pas ! De plus, les couleurs et le graphisme du forum sont vachement sympa et je dois dire que ça attire aussi x) ! Sans oublier de parler du contexte que je trouve très intéressant... Bref, tout m'a plu. ➜ Une suggestion ? Quelque chose à dire ? Pas pour le moment.
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» HISTOIRE DU PERSONNAGE Comme une fleur, je suis né au printemps dans cette merveilleuse ville au cœur du district fédéral Sibérien : Kemerovo. Lorsque mes parents, Andrei Ivanov et Sora Ivanov, apprirent que le bébé, qu'ils attendaient depuis neuf long mois, était un garçon, ils en furent fou de joie. Je comprends... Il devait avoir compris, déjà, que je serais quelqu'un d'absolument fabuleux !
Mon enfance ne fut pas toute rose. Mes géniteurs étaient vus, par les citoyens de Kemerovo, comme des allumés. Bon, faut dire que, à l'époque, des adultes qui défendaient l'écologie et un type qui s'amusait à soigner les gens avec des plantes ça passait pas vraiment bien. Cette merveilleuse réputation s'est, évidemment, étendue jusqu'à moi et les parents de mes camarades de classes répètaient sans cesse à leurs progénitures de ne pas s'approcher de moi. Ils avaient peur de quoi cette bande d'idiots sérieusement ? J'étais un peu trop jeune pour faire de la propagande, il me semble. Je veux bien, j'étais très en avance sur mon âge, mais quand même ! Ah, car, oui, déjà à cette époque, je m'étais fait remarquer. J'avais énormément de faciliter à retenir ce que l'on voyait à l'école. De plus, je comprenais tout bien plus rapidement et je m'ennuyais dans cette prison, vissé sur cette fichue chaise en bois.
Néanmoins, cette époque a au moins le mérite de m'avoir fait connaître le monde de la médecine criminelle. Lorsque je rentrais le soir, je n'avais pas de devoirs et je me posais devant notre vieille télé. C'est là que j'ai vu mon premier film policier. Tout enfant normal aurait eu peur en voyant des corps inanimés se faire disséquer, mais, va savoir pourquoi, j'étais fasciné ! J'avais envie de tout comprendre. Je jouais au docteur avec des peluches, je posais énormément de questions à mon papa qui était médecin... Bref, j'étais vraiment chiant comme gamin passionné !
Mais bon, ce n'était pas non plus la mélodie du bonheur, car ce "don" ne m'a pas vraiment aidé à me faire des amis. Les autres enfants étaient jaloux de me voir jouer tranquillement pendant qu'ils devaient écrire plusieurs fois la même lettre pour la comprendre. C'est pourquoi, l'ignorance laissa place à la méchanceté. Mes petits compagnons s'amusaient à me frapper lors de récréations, à abîmer mes affaires ou encore à me voler mon goûter... Cela ne m'a vraiment pas aidé. Je me sentais tellement triste, tellement seul... Je ne comprenais pas pourquoi j'étais différent. Moi, tout ce que je voulais, c'était être comme tout le monde. J'essayais de faire l'idiot, de faire croire que je ne comprenais pas, mais ils savaient. Je ne sais pas comment, mais ces fourbes le savaient et, chaque soir, je rentrais chez moi en pleurant comme un idiot.
Heureusement, à la maison, tout était parfait. Je vivais un pur bonheur. Mes parents et moi, nous entendions parfaitement bien. Comme je n'avais pas d'amis, je passais le plus clair de mon temps avec eux et je m'amusais énormément. Ils m'encourageaient toujours, me disaient que j'étais mieux que les autres et qu'il ne fallait pas me décourager, car mon père allait travailler dur pour que je puisse intégrer une école adéquate et il tenu sa promesse.
À l'âge de dix ans, j'intégrais une académie spéciale pour les enfants ayant de la facilité. Tout cela se passait à Moscou. Ma famille ne pouvait pas me suivre, mais je savais que c'était pour mon bien et j'acceptais d'y aller. Je n'avais pas eu tort ! Là-bas, les autres ne me jalousaient pas. J'étais enfin comme les autres, j'avais des amis, des gens avec qui jouer, avec qui discuter et j'en étais tellement heureux. Ben quoi ? Je ne pensais pas que cela aurait été possible ! C'était une sorte de miracle pour moi, c'était magique.
Depuis ce jour, ma vie ne fut que bonheur et tout allait en s'arrangeant jusqu'à ce que je rencontre Elena à l'âge de quinze ans. Je la présente un peu comme une catastrophe, je sais, mais, croyez-moi, moi aussi, au début, je pensais qu'elle était tout ce qui manquait à mon bonheur. Comme je me suis trompé... Bref, Elena était une fille de l'académie. Elle jouait du piano comme personne. Je me souviens de ses mélodies qui avaient le don de me transporter tellement loin... Oui, ce bout de femme savait vraiment faire transparaître ses émotions dans sa musique et c'est cela qui m'a fait l'aimer dès le premier regard. C'est terriblement niais, je sais, mais c'est ce que je ressentais à l'époque. Il m'a fallu attendre un an avant de pouvoir me faire appeler son copain.
Pourquoi aussi longtemps me direz-vous ? Car Elena cachait un terrible secret. Après la mort de sa mère, son père était sombré dans l'alcool et passait son temps à la battre. C'est étrange, mais, je me rappelle que cela m'avait complètement bouleversé. Moi qui avais vécu dans une famille douce et aimante, je ne parvenais pas à comprendre qu'on puisse vouloir faire du mal à un proche... J'avais envie de protéger ma Elena et je lui promettais tous les jours que, lorsque j'aurais suffisamment d'argent, je l'arracherais à son père et l'emmènerais avec moi où elle serait toujours en sécurité.
Tout se passa bien pendant un an. Puis, du jour au lendemain, tout bascula. Elena ne me donnait plus de nouvelles. Elle ne répondait plus lorsque je l'appelais, elle ne venait plus à l'école... J'avais peur que son père n'ait commis l'irréparable ! C'est pourquoi je fis l'erreur de me rendre chez elle. J'avais attrapé quelques cailloux et les avaient jetés à sa fenêtre. Elle s'était précipitée à ma rencontre et m'avait hurler de m'en aller. Son père ne voulait pas que l'on soit ensemble et il avait prévu de les faire déménager, elle et lui, en Amérique. Mais moi, j'étais jeune. Jeune et con et qu'est-ce que j'ai fait ? Je ne l'ais pas écoutée. Je suis resté là et j'ai attendu que mon rival arrive. Je pensais pouvoir le faire changer d'avis. Il verrait que j'étais un gentil garçon, je lui prouverais que j'étais la personne idéale pour sa fille, que je la protégerai... et comme vous vous en doutez déjà, rien ne s'est passé comme prévu.
Lorsque mon "beau-père" arriva, il comprit presque immédiatement qui j'étais et s'énerva. Il s'approcha de moi, me criant des injures et me sommant de partir avant qu'il ne m'éclate la gueule. Comme un abruti, j'étais resté et j'essayais maladroitement de lui sortir les discours que je m'étais répété sans cesse en l'attendant. Il n'arrêtait pas de hurler et je me souviens que j'avais peur de cette colère qui émanait de lui, mais je m'empêchais de partir en hurlant. Puis, ne supportant plus de me voir, il me gifla avec tellement de force que je tombais au sol.
Cette douleur sur ma joue me fit perdre tout sens de la réalité. J'étais resté un moment, assis, sonné... quand j'avais relevé la tête, il était encore là. Il me fixait et riait comme un gros porc. Je m'étais alors levé et lui avait mis un coup de poing dans l'estomac puis, je m'étais jeté sur lui en le frappant autant que possible. J'avais complètement perdu les pédales. Je n'entendais même plus les cris d'Elena. J'étais devenu fou...
Nous ne sommes malheureusement pas dans un jeu vidéo où il suffit de taper un code pour être plus fort que le boss final et celui-ci reprit rapidement ses esprits. Il me saisit par les poignets et me plaqua au sol avant de tenter de m'étrangler. Je sentais ses mains se resserrer autour de mon cou et peser toujours plus lourd sur ma trachée. Je griffais ses bras, arrachant des bouts de sa peau sauvagement sans parvenir à le faire flancher. Au bout d'un moment, tout devint noir et je crus que j'allais mourir pour de bon cette fois.
Je me réveillais quelques heures plus tard dans ma chambre. Elena était à mes côtés, son visage mouillé de larmes. Lorsqu'elle me vit éveillé, elle eut un mouvement de recul et m'expliqua calmement que mon père m'avait ramené ici. Il avait dit à mes parents que je m'étais battu contre des malfrats de la ville qui avaient tenté de faire du mal à Elena. Elle m'expliqua aussi que son père, un homme ayant de nombreuses relations, avait décidé de ne pas porter plainte.
Complètement dans les vapes, je m'étais redressé et avais attrapé ses poignets. C'est alors que je vis dans son regard une peur que je n'avais jamais vue. Elle me cria de reculer, ce que je fis. Elle me dit qu'elle ne voulait plus me voir, que j'étais aussi dangereux que son père et qu'elle ne pourrait jamais se sentir en sécurité près d'une personne comme moi. Elle se leva et s'en alla en claquant la porte.
Après cette tragédie, j'étais resté un an dans une vie "comateuse". Je ne voulais plus voir personne. J'allais en cours et m'accrochais à mes études pour ne pas sombrer, mais je n'avais plus envie de rien. Je passais mon temps dans ma chambre et je n'avais plus aucun contact avec mes parents.
Je ne respirais plus dans cette ville et c'est à ce moment-là que je reçu une convocation pour l'Académie Yuukou. J'en avais déjà entendu parler, mais jamais je n'avais osé imaginer pouvoir l'intégrer et voilà que la vie me donnait une chance. Peut-être était-ce là un coup de pouce du destin pour me faire comprendre que ma vie n'était pas finie ? Après de grandes réflexions et de longues discutions avec mes parents qui ne voulaient pas me laisser quitter le pays, je décidais finalement d'accepter parce que l'idée de changer d'air m'était devenu totalement indispensable. Là-bas, j'allais pouvoir recommencer ma vie comme elle était. Personne ne me connaîtrait, personne ne saurait jamais ! » DESCRIPTION PHYSIQUE DU PERSONNAGE Me décrire physiquement ? Ok, je vais le faire, mais je tiens quand même à vous préciser que ce que vous allez penser de moi m'est bien égal. Je suis quelqu'un d'absolument bien dans sa peau et, pour tout vous dire, je me fiche grandement de ce à quoi je peux bien ressembler.
Bon, bon bon... Par quoi pouvons-nous bien commencer cette visite guidée ? Disons que la première chose que vous noterez sûrement en me voyant de loin, c'est que je suis plutôt quelqu'un d'équilibrer. Je pèse un poids idée pour ma taille qui est plutôt... imposante en fait. Ouais, un mètre quatre-vingt-neuf ce n'est pas vraiment négligeable je vous l'accorde. Pourtant, je dois bien vous avouer que je n'ai aucune idée de l'endroit d'où j'ai pu hériter cela ,car mes parents sont, comme l'on pourrait dire, de vrais lilliputiens.
Puisque nous sommes, maintenant, sur le sujet délicat de mes chers parents, je vais en profiter pour vous préciser que je suis une anomalie génétique. Non, ce n'est pas réellement le cas, mais c'est ce que mon père s'acharne à reprocher à tous les saints du paradis depuis ma naissance. En effet, mon très cher père est Russe. Il est donc pâle comme un arrière-train et possède de merveilleux cheveux blonds proches du blanc. Comme tout bon papa fier de ses origines, il attendait un garçon qui serait son portrait craché ! Ouais, ben... ça a un peu foiré en fait ! Tout cela grâce à ma maman qui est Amérindienne et qui m'a passé tous ses gènes faisant de moi un bébé métisse ! Je ne vous explique pas le bonheur lorsque j'ai enfin vu le jour.
Vous comprenez donc que, dès le départ, j'avais un don naturel pour rendre mes parents complètement fous. Cela ne s'est pas arrangé avec le temps puisque, à l'âge de seize ans, j'ai pris la décision, d'un commun accord avec moi-même, de me faire tatouer. Depuis ce jour funeste, un immense dragon, né de la base de mon poignet gauche, s'étend jusqu'à mon omoplate gauche.
Bref, arrêtons les dégâts et passons à mon faciès. Comme vous vous en doutez, je n'ai pas hérité de la chevelure pâle de mon père, mais d'une crinière brune. Mes cheveux sont donc mi-longs et sont coiffés en bataille. Lors de mon temps libre ou lorsque j'ai la flemme, je les attache et me retrouve donc avec une mini-couette ridicule, mais je trouve cela plutôt marrant.
Ce qui est moins ridicule, en revanche, ce sont mes yeux. Ils sont, comme l'expression indique, les miroirs de mon âme. En effet, c'est souvent en regardant ces deux prunelles marron parsemées d'éclats dorés que vous pourrez deviner les réels sentiments qui m'animent.
Finalement, s'il fallait que je vous fasse une brève description de ce que je porte habituellement, je vous dirais que mon look est assez banal. Je ne cherche pas vraiment à suivre la mode et je passe mon temps dans des jeans et des sweatshirts ou des bermudas et des t-shirts. Cela dépend du temps en fait. Cependant, je peux faire d'immenses efforts si la situation le demande. » DESCRIPTION MENTAL DU PERSONNAGE Voilà enfin la partie qui m'intéresse : celle où l'on fait connaissance avant de devenir de très bons amis ! Alors installez-vous bien confortablement et, qui sait, prenez un paquet de pop-corn parce qu'on en a pour un moment les petits potes ! Devrais-je commencer par énoncer mes rares défauts puis vous inonder avec toutes mes qualités ? Non, je crois que je vais, d'abord, vous énumérer tout ce qu'il y a de bien chez moi. Comme cela, mes défauts passeront sans soucis ! Ah... C'est la base du marketing que voulez-vous...
On va commencer doucement afin que les demoiselles qui me lisent ne tombent pas follement amoureuses de moi. Je pense qu'on pourrait me qualifier de bizarre sans trop se tromper. Il est vrai que je suis un drôle d'énergumène. Lorsque j'étais petit, j'étais hyperactif et, même si de l'eau a coulé sous les ponts, je dois avouer que je suis, quelque part, toujours le même. Au fond, je suis toujours un enfant. Je suis très sincère, parfois trop, et je dis facilement tout ce qui me traverse la tête. De plus, je suis quelqu'un de très impatient lorsque je ne parviens pas à obtenir ce que je veux et, temps que l'on parle de mon comportement d'enfant, j'ai aussi horreur de m'ennuyer ! Il faut toujours que je trouve quelque chose à faire. C'est entre autres pour cela que j'ai des intérêts qui défraient la chronique et qui me font passer pour un gros psychopate. Effectivement, lorsque un adolescent passe la plupart de son temps à s'émerveiller devant ce que d'autres trouveraient répugnants, ce n'est pas très rassurant. Bon, allez, arrêtons de tourner autours du pot. J'avoue tout ! Je suis certainement le plus grand fan de film d'horreur, d'extraterrestre, d'enquêtes policières bien gores, de jeux vidéos sanglant... Ne faites pas cette tête voyons ! Je vous avais prévenu que l'on allait rentrer dans le royaume du bon goût et du raffinement. Mais que voulez-vous ? C'est trop banal de s'intéresser à la musique, aux livres... Il me fallait quelque chose d'un peu fou, quelque chose sur quoi mon attention allait pouvoir se fixer pendant longtemps avant que je m'en lasse et j'ai finalement trouvé mon bonheur.
Désolé si je vous ai effrayé... Plus de monstres, c'est promis ! On va vraiment parler de mes qualités. Comme vous aurez certainement pu le remarquer, je suis quelqu'un qui ne se prend pas réellement au sérieux. J'adore plaisanter et mon humour est... vraiment basique, j'avoue. Je ne peux pas m'empêcher de taquiner les gens, de leur faire des blagues. Cependant, sachez que cela n'est, en aucun cas, méchant. Je pense juste que le rire est l'un des meilleurs ponts que l'on peut ériger entre les êtres.
En parlant de cela, il faut aussi que je vous dise que je suis quelqu'un de très sociable. J'adore le contact humain. Je suis très tactile affectueux et ce n'est pas vraiment le cas de tout le monde, mais bon... J'adore rencontrer de nouvelles personnes et je trouve presque toujours, en eux, quelque chose qui me passionne. Ouais, ouais... je suis vraiment curieux, mais je suis surtout à l'écoute. Je pense être une personne à qui l'on peut se confier sans trop se faire de soucis. Je ne suis pas du genre à répéter des secrets ou à me moquer volontairement de quelqu'un. De plus, j'essayerais toujours de rendre le sourire à ceux qui l'ont perdu.
Sinon, je suis quelqu'un de très expressif. En effet, il est très facile de savoir ce que je ressens même lorsque j'essaie de le cacher. D'ordinaire, je suis très souriant et je parle énormément, ce qui peut avoir l'inconvénient de ne pas plaire à tout le monde. Mais cela m'importe peu. J'aime me faire des amis, j'aime me savoir aimé, évidemment, mais si quelqu'un ne peut pas me voir pour je ne sais quelle raison, je n'en ferais certainement pas tout un drame. D'ailleurs, il est vraiment très compliqué de devenir mon ennemi. Comme on dit chez nous : il faut vraiment le vouloir. Je suis très très très tolérant et je peux supporter bien des horreurs avant de m'échauffer.
On rentre maintenant dans un coin de mon esprit qui ne me plaît pas pour le moins du monde. Lorsque je vous ai dit que je ne supportais pas l'ennui à cause de ma hyperactivité, ce n'était pas tout à fait vrai. Il est vrai que j'ai besoin de me dépenser énormément, mais, la vérité, c'est que plus que l'ennui, la solitude me fait peur. Je suis terrifié à l'idée de me retrouver sans personne, car, c'est à ce moment-là que mes souvenirs remontent et me rappellent certaines choses que j'aurais préférées ne jamais comprendre et ne jamais vivre...
Lorsque j'étais jeune, j'étais très amoureux d'une fille, Elena, ma première petite amie. Je n'avais jamais été autant attaché à une personne de toute ma vie. Elle m'a fait connaître tout ce que je sais de l'amour et, à l'époque, je pensais que c'était le plus beau sentiment du monde. Cependant, lorsque je l'ai perdue, j'ai expérimenté la plus grosse douleur qu'il m'eut été possible de ressentir. La perdre avait complètement détruit ce que j'étais et, pendant de nombreuses années, je me suis renfermé sur moi-même, m'éloignant du monde autant que possible. Ainsi, vous comprendrez facilement que, depuis ce jour, je ne suis plus jamais tombé amoureux et j'essaie de fuir les situations qui pourraient me confronter de nouveau à ce sentiment.
Mon autre gros problème, c'est mon incapacité totale à gérer ma colère. Lorsque l'on m'énerve, je peux devenir réellement violent et cette violence à provoquer, dans ma vie, de terribles pertes et d'horribles souffrances. La nuit, lorsque je suis seul dans mon lit, ces images empoisonnent mon esprit... C'est pourquoi je me jette sur mes jeux vidéos et ne me couche que lorsque mon combat contre l'énergie est enfin perdu.
Comme quoi, même moi, je ne suis pas parfait.
Dernière édition par Mikhaïl Ivanov le Dim 3 Mai - 21:06, édité 4 fois |
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