Sommaire

Chapitre numéro 1 : Epilogue de début, description des personnages.


J'arriverais sûrement mieux à vous raconter ma petite vie avant ma venue à l'académie si je prend ça pour l'écriture d'un nouveau scénario, même si j'avoue qu'il ne serait pas si extraordinaire que ça, ce scénario, sauf lors de l'affaire sur notre cousin, sur laquelle je vais vite venir...

Lors de ma naissance, mes parents, Josh Calcott et Lyana Blaz, vivaient alors dans un petit village du Sud de l'Angleterre, Storton. Trois années plus tard, naquit Erika Calcott, ma petite sœur. Peu de jours après, naissait notre cousin Henri. Je sais que je parle tout à coup de la partie tante et oncle de la famille, mais, notre cousin Henri, malgré son drôle de caractère, aura marqué énormément les esprits, un peu partout dans le Royaume-Uni...

Chapitre numéro 2 : Enfance.

Erika et moi, nous avons passé une grande partie de notre enfance chez notre grand-mère, Meredith, au Storton Mannor, le grand manoir de la famille depuis plusieurs génération. Nous y avons passé des bons moments, comme l'innovation du Nid de Pie. Oui, la cabane qu'avait construit seul Dinny pour nous faire une surprise. Dinny, ce garçon très sympathique qui venez toujours en vacances avec nous. Même pas un gars de la famille, non, mon meilleur ami. Nous avons toujours eu de merveilleux moments tous les trois. Malheureusement, Meredith ne l'appréciait pas du tout, venant d'une famille de gitans. Et nous furent donc séparés lors de la disparition d'Henri.

Chapitre numéro 3 : Adolescence, problèmes, douleurs.

Ce jour là, les policiers étaient plantés devons nous, et ils ne nous lâchaient pas. On n'avait pas le droit de sortir, et Dinny avait été forcé de repartir chez lui. Ils nous posaient des questions depuis déjà 15 minutes. Cela faisait 5 minutes qu'ils nous répétaient en boucle les questions " Quand avez-vous vu votre cousin Henri pour la dernière fois ? Que faisait-il ? Où était-il ? " A dire vrai, on n'en savait rien. Absolument rien. On n'allait jamais avec Henri. Et désormais, je m'en voulais. On l'avait toujours laissé de côté. Son caractère bourru et égoïste nous énervées.

En même temps, il n'avait jamais était gentil avec nous. Lors de notre très jeune enfance, quand Erika avec 6 ans, elle se baignait dans la piscine avec Henri. Il l'attrapait par le cou et lui plongeait la tête sous l'eau. Heureusement que les parents intervenaient toujours rapidement, alertés par mes cris suraigu.

Et là, il avait disparu, d'un seul coup, sans crier garde, et si mystérieusement, que je plantais à jamais dans mon esprit sa disparition comme ma responsabilité. C'était de ma faute. Si on l'avait intégré, si on l'avait invité à venir jouer avec nous, si on lui avait appris à être sympathique et attentionné, il serait là avec nous, en train de goûter une tarte de Meredith.

Je ne m'en remis jamais. Depuis ce jour, je me renfermais. Dinny ne réapparut jamais. Meredith en prenait soin. Elle ne voulait plus qu'il nous approche. Elle le tenait comme responsable de la disparition d'Henri.

Je déclinais. Je m'enfermais à longueur de journée, et j'écrivais sans m'arrêter. Je tirais de mon esprit des histoires incroyables, mais je n'en savais pas grand chose. Pour moi, c'était juste un passe-temps, qui pris une grande ampleur dans ma vie. Je cachais mes histoires dans mes tiroirs, sous mes piles de vêtements, sous mon matelas. J'avais peur qu'on les découvre, qu'on se moque de moi.

Mais un jour où Erika rangeait le linge dans ma chambre, elle découvrit une de mes histoire. Elle la garda avec elle, et la lut. Ayant découvert mon talent d'invention, elle en fit part à tout le monde. Je mis alors à créer les décors de mes histoires, et j'en fis ma passion. Je faisais ça à longueur de journée. Je m'étais totalement enfermée. Personne de me tirer de mes paperasses et de mes crayons.

Seulement, ma vie fut bouleversée.

Erika et moi, apprenions que mon père avait eu une liaison avec une autre femme qui était tombée enceinte. Nous avions un petit-frère caché. Il s'appelait Edward, mais nous l'appelions Eddie.

Maman et papa se séparèrent. Maman disparut. Elle avait déménagé au Brésil et nous ne pouvions communiquer avec elle que par téléphone.

Notre vie changea rapidement : On emménagea avec papa, sa femme, Eddie, dans une grande maison au bord de la Manche.

Eddie et sa mère furent vite intégrés à la famille et une joyeuse ambiance régnait, bien que maman nous manquait.

Eddie et moi étions très proche. Il m'appelait "Ma petite maman".

Chapitre numéro 4 : La lettre.

Peu de temps après mes 20 ans, ma vie fut une nouvelle fois bouleversée. Ce jour-là, quand on sonna, Eddie courut ouvrir. Le facteur lui tendit une lettre et lui dit "Pour Mademoiselle Beth". Quand il me la tendit, je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait. Apprendre comme ça que j'étais une surdouée, une vraie, ce fut un choc. Papa fut ravi de la nouvelle, et il m'aida à faire mes valises.

J'étais triste de quitter ma famille, mais je savais que quelque chose m'attendait là-bas...